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The Villain's Chronicles

The Villain's Chronicles
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The Villain's Chronicles
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14 octobre 2008

Du problème de l'abstinence

abstinence

Aaaaah ce bonheur oublié d'avoir un blog pour se plaindre !!

Donc.

El Macho voulait se remettre avec moi le lendemain, et aussi le surlendemain, mais plus le jour d'après ... Ah ben comment c'est con, moi j'avais prévu de belles retrouvailles, un mariage et trois bébés, mais que dalle. Dans le cul Lulu.

Alors maintenant, psychose totale de ma part à son sujet. Même que hier, soirée, et que je me suis mise une tête monstre. Résultat, j'ai passé un très bon lundi soir toute seule dans ma tête à rigoler comme une malade, mais bon du coup je lui ai foutu la honte devant tous ses potes et j'ai failli me battre avec une fille qui lui plaît. Nickeeeeel. Après lui et ses potes sont venu se cacher dans ma salle de bain pour échapper à la police (ouuuuuh ma vie c'est d'la folie j'ai envie de dire). Pendant que moi je dormais comme un sac sur mon lit en petite tenue.


Le soucis c'est qu'on a pas eu le temps de coucher ensemble. En une semaine, j'ai réussi à me retenir. Ce qui tient de l'exploit quand on me connaît. Mais du coup, il manque un genre de petit quelque chose ... comme si la relation n'était pas terminée (ça m'apprendra à faire la prude). Et c'est ce qui me bloque je crois. Avec le fait bien sûr que je me sois prise une jolie petite claque dans la gueule avec ce retournement de situation.
Enfin bon.
J'espère que ça me passera vite.


Et p'têt b'en que ça aurait été bien plus compliqué si on avait couché ensemble. Ou alors tout se serait mieux passé.

Et pour conclure, ma phrase fétiche : à force de se poser des questions, elles deviennent des problèmes.

 

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3 octobre 2008

Porte close

J'ai largué mon copain il y a vingt minutes.

C'était plus possible, je devais galérer pour essayer de créer quelque chose qui ressemblait à une relation, et il avait comme l'air de s'en foutre. Sans compter qu'il ne répondait même pas à mes textos.
Je suis donc montée chez lui, pour venir récupérer un collier que j'avais oublié, et je lui ai dit "j'en profite pour te prévenir qu'on est plus ensemble, ça me gave trop". Et je m'en suis allée dignement. Enfin bon, dignement jusqu'à chez moi parce que après j'ai mis Coldplay et j'ai pleuré comme un gros stéréotype.

Et à ce moment là, toctoc à ma porte. Coup d'oeil rapide dans le miroir : tête de rongeur dépressif. Yeux rouges, coulées de maquillage, etc. La discussion derrière la porte fut donc la suivante :

Moi : c'est qui ?
Lui : c'est moi.
Moi : j'ai pas trop envie, là.
Lui : ...
Moi : t'es encore là ?
Lui : oui.
Moi : mais qu'est-ce que tu veux ?
Pas énervés qui s'éloignent.

Prise de remord (et je l'avoue espérant entendre ce gros macho me dire qu'il voulait qu'on se remette ensemble), je suis remontée le voir.

Lui : j'ai plus envie de parler.

Tant pis. J'aurais fait tout ce que j'avais à faire.
N'empêche qu'il a beau être un sale con, j'étais vraiment bien avec lui. Et je suis sûre que ça aurait pu donner quelque chose de bien si il avait fait un effort. Oui, je suis un peu deg. Mais bon, en une semaine, je me suis plus prise la tête que dans n'importe laquelle autre de mes relations.

Et personne ne fait de commentaire sur le fait que j'en fais un flan alors que ca n'a duré qu'une semaine.

30 septembre 2008

Apocaliptico-dramatique

Pouf pouf.
Soirée moyen cool où j'ai failli me faire abandonner sur le parking d'un Macdo et où j'ai pris un aller-retour d'ascenseur dans la gueule.
Mais expliquons.
Jeudi dernier, soirée étudiante. Et afin de finaliser une première série de jeudi soir, je suis sortie avec l'archétype de mec à éviter. Non pas qu'il ne ma plaise pas ou quoique ce soit d'autre, non non non. C'est la situation qui est trop en win.
A savoir que le jeune homme en question est :
- mon voisin
- dans mon IUT
- et de deux ans mon cadet.
A cette liste dont l'ordre importe peu, s'ajoute le fait qu'il a un caractère à peu près ausi pourri que le mien. Ô joie donc.

Les deux tourteraux que nous sommes (ouh blague) mettent les choses au clair à l'occasion d'une soirée (hier en fait). Ca me gène de sortir avec lui devant tout l'IUT (où je suis depuis un an) et lui prefère ne pas "s'afficher devant ses collegues" (comprendre que en soirée, l'individu aime se mettre la tête tranquille).

Tout est clair, me direz-vous. Que nenni.
Tout à l'heure, en sortant des cours, prise de panique à sa vue et encerclée de mes propres "collègues", je l'évite. L'ignore. Le zappe, le snob etc.
Prise de remord et ayant renoncé au "j't'avais pas vu", je monte à son étage m'excuser (grooooooos effort me connaissant, surtout vis à vis de mon copain). Voilà-t-il pas que je me fais mettre en boîte alors que je viens de presenter mes excuses et ce en toute bonne foi ? Je manque par deux fois de m'en aller et de le laisser en plan, mais me ravise à chaque fois (culpabilité quand tu nous tiens). Grave erreur. Après sa dégeulasserie finale, à savoir me dire dans les yeux qu'il doit ABSOLUMENT répondre sur msn à la fille dont je me méfie, je m'en vais fierement. Et là, le coup fatal :

C'est un vrai départ ou tu vas nous faire une troisième entrée ?

Le batârd.

Heureusement, les voisines-copines sont là pour élaborer strategies diaboliques et fumer des clopes avec moi.

Pour le coup du Macdo, disons que m'étant quelque peu échauffée avec le mec d'une redoutable voisine-copine, il a decidé de m'abandonner sur le parking pendant que je fumais ma clope.

2 septembre 2008

En rang deux par deux

Aujourd'hui ouaiiiiiiiiiis c'est la rentrée.
Je ne m'attarderais pas sur le fait que ce soit le premier septembre PILE m'ait rendue euphorique, parce que je n'ai absolument aucune justification valable, hormis mon état mental. Ni sur le fait que c'est 'achement dur d'écrire avec une clope entre l'index et le majeur, parce que ce n'est pas du tout le sujet.

Aujourd'hui donc, rentrée. A 13h00. Ayant travaillé la veille jusqu'à 19h15, j'avais prévu de passer l'après midi d'après-rentrée à faire mes courses, aller chercher ENFIN mon bail (mais c'est une autre histoire) et autres petites occupations chiantes qui s'imposent quand on revient dans la Ville Crade qui Craint où on fait ses études (enfin les miennes en tout cas, tout le monde n'étudie pas ici. Ou alors je m'inquiète pour l'avenir de la France)

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